juillet 2024
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ÉDITO JUILLET


CHER·ÈRES AMI·ES

Envie de vous dire MERCI et bel été à tous·tes de la part de toute la troupe.
Vos retours, vos attentions, vos petits mots, vos grands mots, vos cartes postales, vos cadeaux… votre générosité nous aident toute l’année. Nous allons chercher tout au fond de nos âmes d’enfants pour jouer avec vous et vous êtes chaque fois au RDV !

Alors OUI merci de jouer, de rêver, d’imaginer, de rire, d’être ému·es, de s’interroger avec nous.
Merci de rester du côté de la rive qui enchante le monde, qui en a bien besoin !
Toute la troupe va partir en Vacances se reposer…
(Enfin presque toute la troupe parce que cette année, je vais devoir répéter mon texte tous les jours…)

Nous revenons du Domaine de l’Étang des Aulnes, un lieu de résidence de théâtre magique, près d’un grand étang où nagent des silures géants !
Nous y avons répété sans relâche notre futur DON JUAN qui sortira (save the date!) le 15 OCTOBRE au THÉÂTRE de GRASSE. 
Bien sûr, on vous en reparlera et on vous réserve une surprise à la Rentrée !! (nous aurons besoin de vous !!)

Prenez soin de vous, de votre corps, de vos ami·es, des enfants, des arbres…
Habitez poétiquement votre été..

Un spécial KISS à Léa Belhomme qui a embarqué il y a 4 ans dans l’aventure et qui part voyager vers d’autres continents. Tu vas nous manquer Belle Fleur de Citronnier !!

Valérie
pour Phil, Aurore, Laurence, Léa B, Léa M, Léa S, Raphaël, Thomas, Yann, Nico, Vincent, Jessy, Ivan, Lucien…


Je vous laisse avec un texte sur la contemplation pour lire et relire…

[…] La contemplation, ce qu’on appelle la poésie, c’est le contraire précisément. C’est le contraire même de ce qu’on entend trop souvent par poésie. Ce n’est pas une décoration, ce n’est pas une joliesse, ce n’est pas quelque chose d’esthétique, c’est comme mettre la main sur la pointe la plus fine du réel. Et en le nommant, de le faire advenir.

Le réel est du côté de la poésie et la poésie est du côté du réel. Les contemplatifs, quels qu’ils soient, peuvent être des poètes connus comme tels, mais ça peut être aussi un plâtrier en train de siffler comme un merle dans une pièce vide. 

Les instants de contemplation sont des instants de grand répit pour le monde, car c’est dans ces instants-là que le réel n’a plus peur d’arriver à nous… Il n’y a plus rien de bruyant dans nos cœurs ou dans nos têtes. Les choses, les animaux, les fantômes qui sont réels, tout ce qui est de l’ordre du vivant se rapproche de nous et vient trouver son nom, vient mendier son nom.

Habiter poétiquement, ce serait peut-être d’abord regarder en paix, sans intention de prendre, sans chercher […]

— Christian Bobin, Le plâtrier siffleur

 

Retrouvez l’ensemble de notre répertoire
dans ce livret

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Laurence Bournet

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+33 6 81 45 94 20
lo(at)voyagesimaginaires.fr

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130 messages.
Mondot a écrit le 16 octobre 2016 à 9 h 37 min:
Conte d'hiver au Théâtre Georges Leygues. Magnifique pièce. Avec la Compagnie de Philippe Car l'expression "spectacle vivant" ne peut mieux être illustrée. Des couleurs de la musique du chant du mouvement de l'inventivité de l'humour de l'amour et Shakespeare. Nous avons passé 16 années magnifiques hier soir. Nous avons hâte de voir leur prochaine création.
Couzy a écrit le 16 octobre 2016 à 9 h 02 min:
Agréable moment passé en votre compagnie hier soir au théâtre George Leygues !! Excellents comédiens et musiciens. En espérant vous revoir très vite sur les planches pour notre plus grand plaisir.
Et, d'ici là, attention au temps car risque de tendinite !
pigearias a écrit le 15 octobre 2016 à 16 h 05 min:
Encore extraordinaire avec le conte d’hiver à Périgueux cette semaine
Petits et grands, nous nous sommes tous amusés emportés dans ce délire rythmé
ENCORE
Guillaume Pigeard de Gurbert a écrit le 11 octobre 2016 à 23 h 55 min:
Conte d'hiver (Winter Tale) ébouriffant de fidélité à l'esprit shakespearien. Cet univers est bien celui du conte (tale), jusque dans le tragique : "le monde est une histoire (tale) racontée par un idiot..." (Macbeth, V, 5). "Le temps est hors de ses gonds" (Hamlet), et fait le clown. La scène se fait piste. Découvrir ou redécouvrir Shakespeare ainsi, quel cadeau! Chapeau bas.
Charlotte a écrit le 5 octobre 2016 à 15 h 27 min:
Quel beau voyage vous nous avez offert ! Des étoiles plein les yeux ... mais aussi des larmes ... de rire décalés et de tristesse.
Tant d'émotions partagées !
Et puis ces danses farfelues ... j'en rigole encore !
Vous êtes formidables.